
Mais toi, tu était plus profond que le tréfonds de moi-même et plus haut que le très-haut de moi-même.
J’avais conclu lors du précédent article : Les puissances de l’âme dans les Confessions de Saint Augustin, que chaque puissance possédait une particularité et un objectif qui lui était propre, – mais aussi que chacune d’entre elle ne pouvait réaliser son objectif que lorsqu’elle entrait en relation avec les deux autres. Ainsi, il y a chez Saint Augustin une interdépendance des puissances de l’âme. Cette relation entre chaque puissance s’appelle la pensée.
L’interdépendance des puissances de l’âme – la naissance de la pensée

Une vie de bonheur, n’est pas la chose que tout le monde veut et que personne ne refuse ?
Réfléchir sur chaque puissance indépendamment l’une de l’autre n’a en réalité de sens que pour montrer qu’on ne peut les penser, de manière effective, que dans leur interdépendance.
Sans…
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